Née d'un jeu télévisé, l'expression "En voiture Simone'' symbolise pour nous un objet de passion mais aussi le plaisir de la découverte et du voyage proche ou lointain sous toutes ses formes et avec des moyens de locomotion divers. Créé en 2011, ce blog poursuit sa route , piloté par Yves de Partz
La voiture n’est pas qu’un objet de rêve pour les nostalgiques et les criminels de la route.
Les annonces réitérées du déclin et de la mort de l’automobile ne suffiront pas à la faire disparaître, écrit Mathieu Flonneau, maître de conférence à l’université Paris I. Ce spécialiste des problèmes de mobilité incite en revanche à repenser la mobilité choisie et librement raisonnée.
Au-delà de la joyeuse cacophonie d’une journée sans voiture, Bruxelles a besoin d’une vraie stratégie réaliste de mobilité.
La journée de la mobilité douce, c’était hier à Bruxelles. Vue de la terrasse surplombant les arcades du Cinquantenaire, cette joyeuse cacophonie entre piétons, cyclistes, transports et communs et rares automobilistes avait les allures d’une grande fête de famille sur le thème de « la rue m’appartient ». Mais quid des débats ouverts pendant la « semaine européenne de la mobilité? ». Retour sur quelques propos et pistes évoquées.
L’évolution des parts modales entre voitures, transports publics et marche n’est pas que le reflet d’un choix des usagers mais résulte notamment de contraintes socio-économiques et socio-démographiques.
Quelques données concernant Bruxelles, dont le recul de la voiture et le succès des transports publics et surtout de la marche -40% des déplacements internes! -, font penser à un début de révolution de la mobilité. Nuance: cette situation s’explique aussi par les contraintes socio-démographiques d’une ville où la croissance sans précédent s’est accompagnée d’un net rajeunissement d’une population devenue aussi plus pauvre.
Les services d’épandage ne peuvent pas maîtriser toutes les situations hivernales.
Neige et vent provoquent le chaos ce matin sur les routes. Face à une situation exceptionnelle mais annoncée, un plan « alerte rouge trafic » élaboré dans les services publics et les entreprises limiterait les dégâts.
A Bruxelles, les pouvoirs publics procèdent à l'envers: ils bloquent d'abord le trafix avant de rechercher des alternatives à l'automobile.
Touring rappelle aujourd’hui une évidence:tout est fait pour freiner l’usage de la voiture à Bruxelles, mais, en l’absence d’alternatives, l’engorgement et la pollution ne font qu’augmenter. A quoi joue le politique?
Ce mardi après-midi, Bruxelles est toujours privé de transports publics après la grève entamée samedi matin.
Après l’agression mortelle samedi d’un superviseur de la STIB, les transports publics restent bloqués à Bruxelles ce mardi. La sécurité est un défi parmi beaucoup d’autres pour la mobilité à Bruxelles.